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saison 2008-2009
24 février 2009

nancy - lyon

Troisième défaite consécutive à domicile... ça va mal. Nancy n'a pas démérité pourtant. La seconde période a été très belle, avec quelques occasions nancéiennes, dont un penalty sur lequel Lloris s'est malheureusement arraché pour pouvoir le repousser... La grève continue dans les tribunes, le stade est triste. On entend trop les gens qui râlent, insultent, sifflent. La Hazotte qui rugit de plaisir sur les deux buts lyonnais, ça fait mal au cœur. Un match qui ne se joue même pas à guichets fermés, c'est lamentable. Gunnarsson était titulaire ce soir, c'était plutôt plaisant de le voir jouer. Correa l'a fait remplacer par Adjet : « c'est qui ce numéro 12 ? » et ça me rappelle les derniers déplacements où on reconnaissait pas tous les joueurs en train de s'échauffer... (c'est pas comme si l'effectif était pléthorique en plus).

Aux rayons extra-sportifs, je suis arrivée pile pour le coup d'envoi, tout comme Travis qui devait me redonner mon abonnement, après avoir passé l'après-midi sur des skis (et une chute mémorable à la sortie d'un télésiège !!). Difficile d'être à l'heure au match : embouteillages à Gérardmer puis à Nancy ! Mais Travis revenait lui aussi de loin. Séb est lui aussi arrivé tard et s'est garé quasiment en face de moi. J'ai même pas eu froid pendant le match car j'avais uniquement changé de veste mais gardé tout ce que j'avais mis d'autre pour le ski. Après le match, je suis repartie avec Travis qui a tenté de me tacler dans la foule. Il m'a à peine effleurée, j'aurais dû simuler comme les lyonnais parce que ça marche à tous les coups. Et puis, Séb me court après sur le parking, je suis encore en train de discuter avec lui que Travis me téléphone parce qu'il m'attend au mcdo. Je file donc et nous mangeons au chaud tout en refaisant le monde, enfin le match et surtout l'équipe. En substance, cela donne des choses comme une charnière centrale Macaluso-Curbelo et André Luis repositionné au milieu. Travis disparaît derrière une montagne de boîtes tandis que pour moi : « tout tient dans un verre ». Nous nous quittons bons amis et reprenons chacun notre route. En évitant soigneusement de repenser au penalty arrêté.

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Commentaires
T
Ou bien à t'entendre parler OJ.
S
obligé de te courir après, t'entends rien quand on t'appelle.. la surdité liée à la vieillesse sans doute
A
De toute façon, jamais deux sans trois.<br /> C'était la 3è à domicile consécutive...
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